Descriptif de la thèse
Comment aider au développement d’un pays en souffrance ?
Cette question est débattue depuis maintenant des années, voire des siècles. Et même si certains pays en développement ont réussi à trouver une réponse, soit par eux-mêmes ou avec l’aide de la Coopération Internationale, d’autres ont encore du mal à sortir ne serait-ce que du seuil de pauvreté et restent à la recherche de solutions.
Une solution au problème du sous-développement est apparue dans le transfert international de technologie, qui combine à la fois assistance, formation, coopération, et parfois aide financière.
Devant l’intérêt de ce procédé, les Nations Unies ont entamé un processus de légifération du transfert de technologie. On se souvient encore du « Code international de Conduite pour le transfert de technologie », qui apparaissait comme une avancée majeure des pays en voie de développement dans le progrès économique. Malheureusement, cette tentative a échoué suite aux distorsions entre les protagonistes.
Néanmoins, la question du transfert international de technologie reste toujours actuelle d’autant plus que la maîtrise de la connaissance technologique est primordiale dans la concurrence internationale.
Avec un Droit de la propriété intellectuelle existant mais pas répressif, les Pays en voie de développement tentent plus particulièrement de promouvoir les Investissements Directs Etrangers, au détriment de l’acquisition de nouvelles technologies.
Quoiqu’il en soit, il faut s’interroger sur les mécanismes de transfert de technologie vers les pays en voie de développement et l’impact de ce transfert sur la protection des brevets ?
Cette thèse est rédigée dans l’objectif de comparer et promouvoir à la fois l’acquisition de technologies adaptées par les pays en développement ainsi que l’implantation des entreprises dans les pays en voie de développement.